Unjour que j'enquetais un profane qui avait frappé à la porte de notre temple, je l'ai entendu me dir. Le Bandeau sur les yeux forum maçonnique . Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Le Bandeau sur les yeux forum maçonnique. forum interactif entre francs maçons et non francs maçons.
Le président Edouard Fritch a réuni la presse ce matin pour exposer en quelques mots ce qui guide la délégation Reko Tika attendue dans les jours prochains à Paris pour parler des conséquences sanitaires, sociales, économiques et environnementales des expérimentations nucléaires française à Moruroa. Nous voici à la veille du départ de la délégation polynésienne Reko Tika pour se présenter à la table ronde de haut niveau proposée par Emmanuel Macron qui se tiendra la semaine prochaine à Paris, les 1er et 2 juillet. Cette invitation du Président de la République vient en réponse à la demande que je lui formulais par courrier en date du 11 mars 2021 en ces termes J’ai souhaité attirer votre attention sur le désarroi profond que suscite la publication de ces études et sur l’attente légitime qui en découle de voir l’Etat apporter des clarifications sur cette situation. … j’estime que l’Etat a un devoir de vérité et de justice vis-à -vis des Polynésiens. » La délégation proprement dite que je conduis, se compose finalement de dix-neuf personnalités représentant les institutions politiques et civiles auxquelles s’ajoutent notre coordonnateur Joël Allain et la déléguée polynésienne au suivi des conséquences des essais nucléaires, Yolande Vernaudon. La délégation polynésienne Reko Tika a été officiellement mise en place par le conseil des ministres le 12 mai dernier. Nous avons tenu cinq réunions plénières, les 18 et 28 mai, les 3, 10 et 22 juin et une session d’ateliers le 8 juin, pour environ cinquante heures de travail et d’échanges. C’est un acte volontaire. Aucune rémunération n’a été prévue y compris pour le coordonnateur. Il est à signaler que l’association Moruroa e Tatou était présente à la première réunion. L’association 193 était présente aux quatre premières réunions. La parole était libre. L’association 193 a pu faire part, par écrit, de ses propositions au coordonnateur, monsieur Joël Allain. Et je remercie le président de 193 pour cet exercice utile qui nous a permis de prendre en considération leurs propositions. Et nous le ferons fidèlement Pendant tout le temps de ces travaux, nous avons souhaité, tous d’un commun accord, garder le silence au sujet de nos débats internes, comme il est de règle universelle lorsque des sujets essentiels sont étudiés par des assemblées responsables. Cela permet à chacun de s’exprimer avec toute la force de ses convictions et à la réflexion collective de s’enrichir des divergences et de grandir. Nous nous sommes organisés en quatre ateliers qui ont chacun apporté sa contribution. Au terme de tous nos travaux, nous sommes arrivés à un consensus global sur les doléances à présenter à la table ronde et aux objectifs recherchés au travers de ces requêtes. Vous comprendrez que nous en réservons la primeur à nos hôtes parisiens. Ces questionnements se répartissent en trois grandes thématiques, en accord avec l’Etat qui a organisé cette table ronde en trois séquences successives ; histoire et mémoire sur toute la journée de jeudi 1er juillet, conséquences sur la santé vendredi 2 juillet au matin et enfin impacts territoriaux le vendredi après-midi. Ces trois séquences couvrent bien l’ensemble des thématiques souhaitées, de son côté, par la délégation Reko Tika. Nos rapporteurs, à chacune de ces séquences, ont été désignés de manière collégiale Tepuaraurii Teriitahi sur le sujet sociétal, Patricia Grand et Patrick Galenon pour les conséquences sanitaires, Yseult Butcher, Winiki Sage et Teva Rohfritsch pour l’impact sur les territoires. Je regrette bien sûr que les associations Moruroa e Tatou et 193 n’aient finalement pas voulu se joindre à nous. Les revendications qu’elles portent de longue date sont évidemment légitimes et ont leurs sens. Je reste convaincu que la politique de la chaise vide est inefficace. Mais, grâce à notre esprit océanien, je ne désespère pas qu’un jour prochain, nous puissions à nouveau nous asseoir autour de la table et s’élever pour faire converger nos forces et nos convictions sur ce sujet du nucléaire. Aujourd’hui, la question n’est pas de savoir qui est ou non anti-nucléaire. Les essais ont pris fin, il y a vingt-cinq ans. Il faut s’appuyer sur ce passé pour aller de l’avant, se projeter dans l’avenir et construire l’avenir de manière sereine. Il n’y a pas de brevet de légitimité pour faire partie de cette délégation Reko Tika, dès lors que nous allons à Paris au nom de la Polynésie française et pour porter la voix des Polynésiens. Les revendications individuelles n’ont pas leur place ici, mieux elles deviennent des revendications collectives. Cette voix, je le disais, elle est le fruit de nos travaux collectifs. Il n’y a pas de sujet tabou dans ce que va présenter la délégation. C’est d’ailleurs dans cet état d’esprit que le Président de la République a accepté la tenue de cette table-ronde. Ce qui va être dit à Paris est bien la traduction des revendications de la Polynésie française, y compris du message porté par les associations qui ne nous accompagneront pas. D’ailleurs, comme je le disais plus haut, 193 a participé pleinement aux ateliers préparatoires de cette mission et ses doléances ont donc été intégrées. Il ne faut pas nous faire de procès d’intention, ni faire de procès d’intention à l’Etat, ni à qui que ce soit. Nous souhaitons continuer le travail commencé par nos prédécesseurs, je pense à Bruno Barillot, ou Roland Oldham…. Soyons comme Saint-Thomas. Il faut attendre de connaitre les réponses qui seront formulées à nos doléances avant de prononcer le jugement dernier, comme certains l’ont déjà fait. Mais il est vrai aussi que c’est la nième réunion tenue depuis trente ans…. Restons mobilisés. Ne nous lassons pas de chercher la vérité de quarante ans d’histoire nucléaire. Fallait-il ou non aller à Paris pour mener ce débat ? Fallait-il que ce débat ait lieu à Tahiti ? Je suis tenté de dire que la question du lieu n’est pas déterminante sur nos chances de réussite. La vérité ne dépend pas du lieu de réunion. La vérité n’a pas de frontière. Elle dépend de la bonne volonté des hommes. Mais je me range aussi à ce qu’a dit le ministre Sébastien Lecornu, lorsqu’il nous a tous rencontrés avec les associations lors de sa visite à Paris, le retentissement médiatique sera plus important que si cela s’était déroulé ici ». Mais ce n’est pas ce qui m’importe. Et je rajouterai aux propos du Ministre, le retentissement ne sera que plus important si les hauts responsables parisiens tendent une oreille attentive à ce sujet qui nous intéresse tous », puisque plusieurs d’entre nous ont pris sur leur temps personnel pour apporter leur contribution à la réflexion. Le Président de la République aura sans aucun doute à cœur de s’exprimer sur ces questions devant les Polynésiens lors de sa prochaine visite. J’ai senti chez lui la volonté de prendre le sujet à bras le corps. Ce qui est certain, c’est que tout ne sera pas résolu en deux jours de table ronde. Nous en sommes parfaitement conscients. Nous obtiendrons certainement des réponses sur certains sujets, durant les deux jours. Nous obtiendrons sans doute des ouvertures de travaux sur des sujets nécessitant des expertises juridiques ou économiques. Nous avançons pas à pas depuis de nombreuses années. Mais, les premières réponses qui nous seront données augureront ou non de la sincérité et de la volonté de l’Etat à aller de l’avant avec nous. Ce que nous voulons, c’est ouvrir un nouveau chapitre de notre histoire pour que vérité et justice soient faites. 1,045 visiteurs total, 3 visiteurs aujourd'hui Continue Reading
Avonsnous intérêt à la vérité ? La vérité se définit traditionnellement comme l'adéquation entre le discours et le réel. Autrement dit, lorsque l’ Rechercher dans 366788 documents. Chercher. Chercher. Accueil; Philosophie; Avons-nous intéret à la vérité ? Avons-nous intéret à la vérité ? Obtenir ce document Extrait du documentLa vérité est-elle bonne, et donc un devoir, ou doit-on accepter notre ignorance et nos illusions, au nom de la protection contre une vérité qui pourrait s’avérer nuisible ? » La vérité est une valeur connotée positivement dans la plupart des domaines de notre existence on proscrit et punit le mensonge de l’enfant, de l’homme politique, et on fait l’éloge de la transparence ». Pourtant, le mensonge est un fait. Nous ne mentons pas juste pour nous protéger mais aussi pour protéger nos proches sur qui nous craignons les effets blessants de la vérité. Le statut de la vérité est donc paradoxal valorisée, elle est aussi crainte. Cela explique l’attitude de l’un des personnages du film Matrix qui, après avoir pris connaissance de la réalité, demande à retourner dans l’illusion et l’ignorance d’où il vient. N’est-il pas en effet logique de préférer l’ignorance à une vérité inutilisable, voire nuisible ? Pourtant, ce personnage est aussi, dans le film, le plus immoral, celui qui trahit les autres au profit de son intérêt personnel. En effet, quel genre d’hommes serions-nous si nous renoncions à la recherche de la vérité au profit de notre satisfaction personnelle ? L’habilité à la compréhension et à l’explication du monde n’est-elle pas ce qui distingue l’homme de l’animal ? Cela signifie-t-il que la vérité est un devoir absolu ? Qu’il faut la chercher à tout prix ? Le mensonge et le secret ne sont-ils pas nécessaires au bon fonctionnement des sociétés ? Dès lors, le citoyen n’a-t-il pas le devoir de ne pas toujours chercher la vérité et d’accepter que tout ne lui soit pas dit ? Ainsi, s’il existe un devoir de dire la vérité, nous voyons qu’il pose problème, tant dans sa mise en œuvre que dans ses effets. C’est pourquoi nous nous demandons si nous avons le devoir de chercher la vérité. La vérité est-elle bonne, et donc un devoir, ou doit-on accepter notre ignorance et nos illusions, au nom de la protection contre une vérité qui pourrait s’avérer nuisible ? Nous verrons dans un premier temps que nous n’avons pas le devoir de chercher la vérité car le mensonge, le secret servent souvent nos intérêts individuels et collectifs. Mais, justement parce qu’elle n’est pas toujours bénéfique, ne s’impose-t-elle pas comme un devoir moral ? Peut-on le suivre à tout prix ? I. Le mensonge sert nos intérêts individuels et collectifs La vérité est une valeur fondatrice de nos sociétés. Pourtant, nous nous en méfions aussi. La révélation de la vérité est souvent violente nous sommes sortis brutalement de nos illusions et de notre ignorance qui constituaient un voile protecteur. C’est pourquoi nous faisons un usage fréquent du mensonge. Il sert parfois à nous protéger nous-mêmes nous dissimulons une vérité qui pourrait nous nuire et souhaitons alors que les autres ne cherchent pas cette vérité que nous cachons. Mais nous savons alors que ce n’est pas justifiable. En revanche, il peut sembler plus légitime de ne pas chercher une vérité blessante. À quoi bon chercher une vérité qui peut nuire ? Au contraire, nous devons alors ne pas la chercher. Pascal arrive à cette conclusion dans les Pensées. Le fondement du droit n’est pas la justice véritable mais les mœurs. Nous avons le devoir de ne pas chercher la vérité sur l’origine du droit car cela risque d’en mettre en péril la fonction de pacification de la société, si était révélée l’illégitimité de son origine. Chercher la vérité n’est donc pas un devoir lorsqu’elle est nuisible il faut au contraire la maintenir cachée. Ainsi, toute société s’organise sur la base d’une dose de mensonge, de secret. L’apprentissage de la politesse est l’apprentissage d’une forme d’hypocrisie dans laquelle on ne doit pas dire toute la vérité et on ne doit pas la chercher non plus. La question Ça va ? » n’appelle ainsi jamais de réponse sincère mais est simplement formelle. Pour que les relations sociales soient apaisées, mieux vaut que nous ne sachions pas toute la vérité sur ce que les autres pensent de nous. Le citoyen ne doit pas non plus chercher à connaître les vérités que la raison d’État autorise à garder cachées. Ainsi, dans Le Livre du philosophe, Nietzsche explique que l’instinct de vérité n’est pas naturel chez l’homme. Celui-ci est plutôt spontanément tourné vers la ruse qui lui permet de survivre. S’il développe un amour de la vérité, c’est dans un second temps, car elle lui est utile pour vivre avec ses semblables. La vérité n’est donc intéressante que si elle est utile. Nous préférons le mensonge ou l’ignorance à une vérité nuisible ou inutile. On ne doit donc pas toujours chercher la vérité car celle-ci n’est pas nécessairement bonne. Elle peut être inutile ou nuisible et alors notre quête de vérité sera vaine. Toutefois, cela ne signifie pas que ce ne soit pas notre devoir. Le devoir désigne en effet ce que l’on s’impose à soi-même au nom de valeurs et non de ses intérêts. N’avons-nous alors pas le devoir de chercher la vérité ? II. Nous avons le devoir de chercher la vérité pour y gagner notre liberté Chercher la vérité, c’est, en effet, essayer de comprendre et d’expliquer le monde dans lequel nous vivons. Seul l’homme est en mesure de produire un discours scientifique qui lui permet de décrire, d’expliquer et de comprendre la nature et le monde qui l’entourent. Grâce à cette vérité, nous pouvons dominer la nature, la transformer et finalement nous en libérer. Sans ce travail de recherche de la vérité, l’homme resterait à l’état animal partie d’une nature qu’il subirait. Grâce à la science au contraire, l’homme parvient à s’en extraire. Nous avons donc le devoir de chercher la vérité pour y gagner notre liberté. Ce n’est pas un devoir désintéressé, mais une nécessité qui s’impose à nous car notre existence d’êtres humains en dépend. Ainsi, dans la République, Platon montre dans l’allégorie de la caverne comment l’homme passe de son état de prisonnier ignorant et bercé d’illusions à celui d’homme libre en accédant au savoir, symbolisé par la sortie de la caverne, et l’accès au soleil et à sa lumière. Nous avons donc le devoir de chercher la vérité qui nous libère. Mais ce n’est pas seulement parce qu’elle est utile que la vérité est un devoir. C’est aussi parce qu’elle est bonne, moralement. Ce n’est pas juste un outil, c’est aussi une valeur liée à notre humanité la recherche de la vérité est un devoir parce que, justement, elle peut être nuisible, elle apporte la preuve de notre capacité proprement humaine à ne pas seulement être attachés à des intérêts, à ne pas nous contenter de suivre notre instinct de survie. C’est ce qu’explique John Stuart Mill dans L’Utilitarisme Il vaut mieux être Socrate malheureux qu’un imbécile heureux », un homme insatisfait qu’un porc satisfait. Parce qu’elle peut nous nuire, ne devons-nous pas pour autant renoncer à la recherche de la vérité au nom du bonheur que procurent les illusions et l’ignorance ? C’est notre dignité d’être humain qui est en jeu dans la recherche de la vérité et l’amour de la connaissance. Nous avons donc le devoir de chercher la vérité c’est un devoir moral car là se jouent notre liberté et notre dignité, notre condition d’être humain. Mais un devoir moral est une règle absolue. Il vaut en toutes circonstances. Avons-nous le devoir de chercher ainsi la vérité à tout prix ? Est-il possible de mettre ce devoir en œuvre s’il me nuit, à moi et aux autres ? Comment faire donc pour rendre ce devoir compatible avec la réalité ? III. Ce n’est pas la recherche de la vérité qui est blessante, mais son usage Chercher la vérité est un devoir mais, on l’a vu, elle peut être blessante. Or la finalité du devoir moral est d’être mis en œuvre concrètement. Comment faire pour respecter ce devoir s’il peut nuire ? Il y a toutefois là un paradoxe la vérité peut être blessante mais nous ne le savons qu’une fois que nous l’avons trouvée. Tant que la vérité n’est pas connue, elle ne peut être blessante et donc on peut difficilement trouver là un argument pour ne pas la chercher. De la même manière, une fois qu’elle est connue, ce n’est pas en elle-même qu’elle peut s’avérer dangereuse, mais selon ce que l’on en fait. Le problème des effets négatifs de la vérité ne concerne donc pas tant la recherche de la vérité que son utilisation. Ainsi, selon le mot de Einstein dans sa correspondance, la découverte de la fission atomique et du nucléaire n’est pas plus dangereuse que l’invention des allumettes. Tout est fonction de qui utilise ces découvertes, pour quoi et comment. Nous avons donc le devoir de chercher la vérité car elle n’est pas en elle-même dangereuse. Cela signifie que ce devoir, dans sa mise en œuvre, doit être associé à des règles qui concernent ce qu’on fait, comment on la dit. Ce qui est nuisible ce n’est donc pas la vérité trouvée mais la vérité révélée. La brutalité de la révélation que nous avons évoquée plus haut concerne ainsi le dévoilement de la vérité une fois qu’elle est connue. Dans Des réactions politiques, Benjamin Constant montre ainsi que toute règle morale doit s’accompagner de règles secondaires, rendant son application possible. On ne peut ainsi suivre aveuglément le devoir de dire la vérité sans réfléchir à qui a droit à cette révélation par exemple, pas celui qui va l’utiliser contre quelqu’un. De même, nous disons que nous n’avons donc le devoir de chercher la vérité qu’à condition de savoir comment la révéler. Conclusion Nous avons donc le devoir de chercher la vérité. Certes, elle peut être dangereuse ou nuisible. Mais nous n’en savons rien tant que nous ne l’avons pas cherchée et il en va de notre liberté et de notre dignité d’hommes de ne pas nous contenter de douces illusions. D’ailleurs, nous ne savons pas si elle est blessante tant que nous ne l’avons pas trouvée. Nous avons donc le devoir de la chercher mais aussi celui de réfléchir à ce qu’il en advient quand nous l’avons trouvée. Annalesgratuites Bac S : Avons-nous le devoir de chercher la vérité ? Le sujet 2012 - Bac S - Philosophie - Dissertation. Avis du professeur : Sujet classique sur la vérité. La subtilité tient à la dimension morale introduite dans l'énoncé par le mot devoir.
Licence Creative Common by SA Pour écrire il faut être à la recherche de sa vérité. La recherche de la vérité c’est la quête du bonheur. Notre esprit doit apprécier les instants joyeux. Le bonheur est un aboutissement car notre cœur le souhaite. Seulement avec la cupidité certaines personnes ne veulent pas du bonheur des autres. Des avis faussent le nôtre. Avec ces nuisances nous avons alors un manque d’objectivité. Chercher l’objectivité ou la vérité permet de résoudre ses problèmes avant qu’ils n’arrivent. Cela permet aussi de comprendre plus facilement les problèmes en les écrivant. On s’aperçoit en effet que nos erreurs viennent d’un manque de compréhension de soi ou d’un manque de préparation. Le manque d’objectivité se crée en étant dans la passivité, dans le manque de réflexion ou d’action, en ne confrontant pas son avis avec les autres. Nous laissons faire notre arrogance ou nos peurs. Il faut alors vérifier ses paroles, faire preuve d’abstraction et d’analyse pour créer un jugement correct. La civilisation actuelle est remplie de faux jugements, de cupidité, d’influence du pouvoir. On se regarde soi plus facilement par écrit que sans aucun support. On cherche alors l’objectivité afin de s’entendre avec son ego. Comme cela il ne nous renie pas. On trouve donc son bonheur à force de chercher la vérité. Le bonheur vient si on s’entend avec son ego, si on évolue aussi, si on s’aime enfin. Nous avons tous pris des raccourcis dans nos réflexions d’enfant car l’enfance c’est l’excès. Combler les raccourcis que l’on a pris et que l’on possède encore en mécanismes permet d’anticiper. On comprend alors ses plus gros défauts après des trouvailles sur ses qualités écrites, par son bonheur donc. Si l’on a peu de mémoire il faut écrire comment on réfléchit afin de déceler des certitudes à partir d’une logique. Seul un travail sur son ego peut combler des raccourcis que l’on trouve alors idiots car ils se révèlent petits à petits. On les écrit pour ne pas oublier. Ils disparaissent petits à petits avec l’honnêteté d’avoir compris son propre fonctionnement. Mes notes Écrire sur votre enfance, ce que vous avez aimé puis regretté... Lorsqu’on est positif quelquefois des défauts se révèlent par son envie de rester dans la satisfaction de soi. Il est très difficile d’avoir complètement raison au début de sa vie. Répondre à cet article Navigation
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