Cette citation de Marilyn Monroe Si tu ne m'aimes pas au pire, alors tu ne me mérites pas du mieux. , fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Marilyn Monroe. Partager cette citation Vous trouverez ci-dessous des illustrations de cette citation de Marilyn Monroe que vous pouvez facilement télécharger ou publier directement sur vos réseaux sociaux préférés tels que Facebook, Twitter, Instagram ou Pinterest. Citations similaires Dans les citations ci-dessous vous trouverez des citations similaires à la citation de Marilyn Monroe Si tu ne m'aimes pas au pire, alors tu ne me mérites pas du mieux., contenant les termes aimes, alors et mérites. Voir d'autres citations d'auteurs Découvrez des centaines d'auteurs célèbres et toutes leurs citations célèbres. André FROSSARD Angelina Jolie Cicéron Francis PICABIA Grégoire Le Grand Jacques CHIRAC Jean-Paul Gaultier Jules BARBEY D’AUREVILLY Miguel de UNAMUNO Paul Géraldy proverbe Steve JOBS Rechercher une citation- This Pin was discovered by isabela falcão. Discover (and save!) your own Pins on Pinterest Lors d’un départ d’un parent vers une maison de retraite ou lors d’un décès, il appartient aux enfants de vider la maison familiale. Ceux-ci sont alors confrontés à la masse d’objets accumulés depuis des décennies. Au bout de quelque temps, le respect initial fait place à l’exaspération. Au début, on prend pieusement les objets un par un. Chacun nous évoque le parent qui s’en servait et c’est touchant. Cependant, une fois mis à part les vrais objets de valeur et ceux qui comportent une vraie charge affective, on commence à réaliser que la génération précédente a entassé tout un tas de trucs et de machins ça peut servir », on ne sait jamais », chez nous on ne gaspille pas », c’est joli », on me l’a donné », c’était à ton père » etc. Et ce sont alors des dizaines de sacs poubelle qui sortent de la maison. Des heures à passer dans la poussière pour évacuer les trésors » de Mamie. S’il vous plaît, ne faites pas subir ça à vos enfants. Pour éviter ces situations, voici quelques conseils 1- Tant qu’à conserver, protégez Vous êtes écureuil, soit. Cependant, si ce que vous conservez est moisi, rouillé, illisible, n’a jamais été nettoyé ni entretenu… que pensez-vous qu’on pourra en faire? 2- Distinguez bien vos souvenirs du reste Vos cahiers d’écolier, pourquoi pas. Je suis toujours émue de voir les prix d’excellence de mes parents. Quant aux 12 598 vis de différentes tailles que vous gardez parce que on ne sait jamais »… si vous ne bricolez guère et qu’on ne vient jamais vous en emprunter, c’est que vous confondez votre habitation et un entrepôt. Si les cahiers et les vis sont dans les mêmes boîtes… c’est dommage. 3- Transmettez vraiment Une grosse boîte de photos, c’est précieux. Sauf s’il n’y a que vous qui pouvez reconnaître les personnes. Notez lisiblement derrière chaque photo les protagonistes, une date même approximative et le lieu. Là , ce sont de vrais souvenirs. 4- Laissez des indications Montrez à vos enfants ou petits-enfants ce qui a de la valeur marchande et ce qui n’en a pas. Mais n’oubliez pas de leur dire aussi ce qui compte pour vous, et pourquoi. Pour Mamie, un collier de pacotille, parce que c’était le premier que lui a offert son amoureux, peut avoir beaucoup plus de valeur que ce qu’on croit. 5- Paperasse! Pour avoir vu des pièces entières remplies de papier en désordre, je peux vous dire que cela frôle le cauchemar pour les descendants. Comment repérer ce qui est important de ce qui n’est que de la paperasse? Où sont les traces des différents comptes et placement? Où sont les actes notariés et les titres de propriété? Ne déléguez pas à vos enfants ce que vous n’avez pas eu le courage de faire vous-même lorsque vous le pouviez encore. Un dernier conseil, si c’est à vous de faire le tri faites-vous aider. Entre le chagrin, l’appréhension, l’ampleur de la tâche,… difficile de ne pas être bouleversé. Vous pouvez faire appel à un ami, plutôt qu’à un membre de votre famille. Moins impliquée que vous, il/elle vous aidera à décider et à trouver des débouchés pour tout ce que vous ne voulez pas garder.
Lesforces du désordre (FDD) sont des fonctionnaires qui usent directement de la violence armée, de la contrainte physique ou de la menace directe de violence armée pour : . appliquer les lois, ordonnances et autres décrets ou arrêtés décidés par les hommes de l’État ;; obéir directement aux ordres des hommes de l’État, les protéger, et confisquer des biens pour leur
Samedi L’esprit de Josep Brangulà souffle sur moi J’ai eu la chance d’aller deux fois en Catalogne, principalement à Barcelone, mais aussi, arrivant par la route, les deux fois, j’ai un peu traversé le Nord de ce pays, riche notamment de ses paysages et de ses églises, abbayes, cloîtres, chapelles et cathédrales, en juillet 2011 et juillet 2013, les deux fois pour des séjours n’excédant pas la semaine. Lors de ma première visite je n’étais qu’étonnements et surprises, singulièrement dans les collections richissimes du Musée National d’Art Catalan, où toute personne française peut prendre la mesure de son inculture crasse face à rien moins qu’une civilisation, celle catalane aux époques romanes et gothiques. J’ai aussi l’immense plaisir de visiter l’exposition rétrospective du photographe catalan Josep Brangulà dont, pour ce manque de connaissances, je dois avouer que je n’avais jamais entendu parler auparavant. Josep Brangulà 1875 - 1945 était un photographe calatan, principalement de commandes pour lesquelles il a montré un savoir-faire jamais pris en défaut dans pratiquement toutes les situations et conditions lumineuses qu’un photographe professionnel peut embrasser, du reportage, de la photo d’archi, c’est principalement lui qui documentera les destructions et reconstructions de Barcelone selon les plans de Cerdà , de la commande de photos d’objets, des portraits, bref, pas un domaine photographique pour lequel il n’a pas travaillé. Et au travers de cette pléthore de genre et de situations, Josep Brangulà est resté d’une neutralité sidérante, à la fin des années trente il documente la guerre civile à la fois du côté des tranchées républicaines que du camp des franquistes et sans doute a-t-il été la seule personne qui pouvait témoigner de ces deux bords du déchirement et de l’écrasement des Républicains. L’exposition de Brangulà au CCCB est un témoignage et une traversée exemplaires de la ville de Barcelone qui m’a profondément marqué, justement pour cette neutralité qui confinerait presque jusqu’à la bêtise, si elle ne livrait pas en héritage posthume ce leg pléthorique et riche, sans parler de cette qualité intrinsèque du à un artisan fort compétent la justesse de l’exposition, du choix de point de vue de l’optique sont tellement remarquables. Sorti de l’exposition je voyais non seulement la ville différemment mais cela m’a donné l’envie de m’essayer, j’imagine, à cette neutralité impossible. Je ne saurais dire les choses très précisément, mais les deux cents et quelques photographies que j’ai prises de Barcelone peu de temps après avoir vu l’exposition ne ressemblent en fait à presque aucune de mes autres photographies, au point que je les regarde un peu comme des corps étrangers surprenants. Comme si L’Esprit De Josep Brangulà Souffle sur moi Mardi C’est La Vie Le 28 décembre 2002, je me suis offert mon premier appareil-photo numérique, un Nikon Cooplix 5000 qui était hors de prix et dont je n’ai jamais été très heureux techniquement, il n’empêche c’est ce petit appareil qui avait cependant pour lui d’être un petit truc qui tenait dans mes larges poches quand je me promenais qui m’a initié à la photographie numérique. Assez rapidement j’ai imaginé que je pourrais faire des sortes de collages des photos que je prenais tous les jours, un collage par jour. Et j’ai rapidement appelé la chose, La Vie, le site du Désordre avait à peine deux ou trois ans d’existence, à l’époque, grand fou, et fort jeune, je venais d’avoir 38 ans, je devais penser que l’on pouvait se battre contre le temps, plus exactement qu’avec un appareil-photo numérique on pouvait se battre avec le temps à armes égales. Il n’empêche la série de La Vie a tenu bon dans sa forme originale presque une dizaine d’années, de 2003 à fin 2012. Puis les choses devaient me lasser, ce qui n’est jamais un très bon signe, aussi j’ai pensé à une autre manière d’organiser ces si nombreuses photos que je prends, oui, tous les jours, c’est vraiment rare que je ne prenne pas au moins une photo dans une même journée. C’était La Vie sous la forme d’une avalanche, je dois dire que c’était ma forme préférée, même si elle était fort coûteuse en travail. En 2014 et 2015, il y a eu la tentative de triptyques Fin 2015 la vraie vie, elle, prenait un tour moins rose, et même les deux appareil-photos — le D300 et le D90 — s’accordaient, quasi la même semaine, une retraite. J’ai commencé à prendre nettement moins de photos. Et je me suis même dit que cela pouvait très bien être pour moi une occasion de ralentir la cadence, laquelle était infernale. J’ai donc essayé de ralentir, mais rien n’y a fait. Je n’ai pas tenu très longtemps et je ne pense pas que ces formes-là de La Vie soient les plus abouties. En 2017, j’étais cul par dessus tête, on peut dire cela comme ça, d’autant que percuté par un chagrin amoureux tenace, j’ai surtout passé beaucoup de temps à écrire. Pour tout vous dire j’avais même décrété la fin du Désordre. En 2018, j’ai tenté tout à fait autre chose dans la rubrique de La Vie, une manière de journal visuel et cela m’a tenu en haleine pendant presque deux ans jusqu’à ce que de tenir son journal, une fois de plus, ne représente un tel travail qu’il devienne impossible de travailler à quoi que ce soit d’autre. J’ai donc arrêté. J’ai tenté une sorte de moindre geste, Les Flux détendus, un journal visuel mais très lâche et irrégulier. Avec le confinement j’ai tenté autre chose encore, Les Confins, des carrés de carrés, de tentatives modestes qui n’étaient pas trop chronophages et qui étaient aussi de la photographie de non-photographe en somme je me servais alors exclusivement d’un petit appareil-photo qui faisait aussi office de téléphone, le truc pratique, une sorte de canif suisse numérique. Depuis le début de l’année 2022, je tente également de nouvelles images à la fois collages et quotidiennes, reflet, comme je l’espère, d’une vie désormais plus libre — La Vie plus libre. Et c’est ces derniers jours tandis que j’ai mis en ligne les deux saisons, 2 et 3 des Flux détendus en ligne que je me suis aperçu qu’en fait La Vie avait continué, qu’elle n’avait jamais vraiment cessé, et que je devais sans doute reprendre son index. Ce que je viens de faire. C’est que j’usine moi en ce moment. A croire que j’ai du temps devant moi. Vous allez voir que le Désordre, jamais tout à fait éteint, va reprendre ! Le Désordre c’est La Vie ! Dimanche Les Flux détendus saison 3 N’empêche, je ne sais pas si vous vous rendez bien compte à quel point vous êtes pourries gatés, c’est vraiment de la series binging, comme on dit, la saison 3 des Flux détendus est déjà prête it didn’t take long. Il est bien possible qu’il y ait une saison 4, mais pour le coup on va attendre un peu que le chutier se remplisse. Samedi Les Flux détendus saison 2 Il y a quelques temps, quelques années est-ce possible, j’avais tenté cette série, dite des Flux détendus. En faisant du tri ces derniers jours dans mes petites affaires, j’ai découvert que j’avais tout à fait la matière pour une saison 2 de cette série. La voici. Et apparemment il y a également la matière pour une saison 3 et dire que commençant cette série je faisais le voeu pieu de photographier un peu moins sériellement !. Mardi Je ne me souviens plus à la Maison de la poésie Le premier avril à 20 heures, je lisais Je ne me souviens plus chez à la Maison de la Poésie. J’étais accompagné par mon ami Gilles Coronado à la guitare électrique Cette rencontre-lecture était proposée par et animée par Sébastien Rongier. Vous pouvez, si le petit lecteur vidéo en tête de cet article est un peu chiche pour vous regarder cette captation en streaming sur un plus grand écran en cliquant sur ce lien. Et pour les fans jusqu’au-boutistes il y a le film en pleine définition, attention derrière ce lien clic-droit +"enregistrer sous" se cache un fichier de presque 4 gigaoctets, oui, c’est vraiment pour les die-hard fans et les belges universitaires. Mercredi Je ne me souviens plus à la Maison de la Poésie Le premier avril à 20 heures, je lirai Je ne me souviens plus chez à la Maison de la Poésie. Je serai accompagné par mon ami Michele Rabbia, l’exceptionnel percussionniste et son instrumentarium bigarré et si divers. La lecture sera précédée d’une discussion animée par Sébastien Rongier à propos de Je ne me souviens plus, mais aussi à propos de mes autres livres publiés notamment chez Inculte. Cette rencontre-lecture est proposée par Mercredi Rémi Il y a presque dix-huit ans, naissait mon troisième enfant, quasiment sur Internet », comme on disait alors. Cet enfant a grandi et est, en fait, devenu un beau jeune homme plein de talent, de drôlerie et d’intelligence vive, d’ailleurs maintenant il s’appelle Rémi — Ré Mi La Do Si Fa Sol, Rémi l’ado si facile. Voilà , il fallait que je vous le dise. Par ailleurs dimanche dernier j’ai assisté à une pièce de théâtre que Rémi avait entièrement écrite, mise en scène en partie, et dans laquelle il jouait le rôle d’un lycéen tourmenté et poursuivi. Et je peux vous dire que cela a laissé tout le public de ce petit théâtre de MJC complètement scotché, comme on dit, moi pas le dernier — c’était sacrément écrit, en fait, comme pièce, avec un twist narratif à la fin, qu’on ne voit pas bien venir, et qui éclaire rétrospectivement le reste de la pièce. C’est qu’il est hyper fort mon Rémi. Et j’en suis tellement fier.166Likes, 6 Comments - Alexa Cordova Pocoroba (@alexa_orly) on Instagram: “Aimer c’est du désordre alors aimons!” Et maintenant, ces trois restent la foi, l’espérance et l’amour. Mais le plus grand d’entre eux est l’amour. - 1 Corinthiens 1313. En utilisant les langages de l’amour comme guide, voici cinq façons pratiques de le faire. 1. Mots d’affirmation Écoutez comment votre conjoint vous parle. Son ton est-il positif ? Vous complimente-t-il ? Se vante-t-elle de vous auprès de ses amis ou des vôtres ? Vous encourage-t-il lorsque vous passez une mauvaise journée ? Valider vos sentiments quand la vie ne va pas tout à fait dans votre sens ? Te dire qu’elle t’aime ? Mentionnez à quel point vous êtes important pour lui ? Si vous avez répondu oui à l’une des questions ci-dessus, alors ces choses font que votre conjoint se sente aimé. Cherchez des façons de complimenter son dos. Ne manquez pas les occasions de le développer. Parfois, nous pensons de bonnes choses à notre conjoint que nous oublions de dire. Faites-en un point pour partager ces mots d’affirmation. 2. Temps de qualité Gardez une trace du temps que votre conjoint passe avec vous. Rappelez-vous ce qu’il aime faire ou où elle choisit d’aller quand vous êtes ensemble. Il peut s’agir de lire tranquillement côte à côte, de jouer, de dîners romantiques à l’intérieur ou à l’extérieur, de voyager, de se promener ou de longues conversations sur le patio. Si être seul avec vous est une priorité, réservez ces moments souvent parce que votre conjoint se sent aimé grâce à du temps de qualité. 3. Toucher physique Faites attention à quand et comment votre conjoint vous touche. Quand vous sortez pour manger, est-ce qu’elle se précipite dans la cabine à côté de vous ? Est-ce qu’il est assis côte à côte lorsque vous regardez la télévision au lit ou sur le canapé ? Se blottir contre vous pendant que vous vous endormez ? Tenir ta main ? Elle te frotte les pieds ? Est-ce qu’il passe ses doigts dans tes cheveux ? Cherchez des moments pour faire le premier pas. Prenez sa main avant qu’elle n’attrape la vôtre. Penchez-vous dans son contact. Car si votre conjoint vous touche constamment, vous pouvez être sûr que votre conjoint se sente aimé en étant touché en retour. 4. Actes de service Remarquez les petites choses que votre conjoint fait pour vous. Est-ce qu’elle nettoie après le dîner ? Est-ce qu’il ramasse le désordre que vous avez laissé dans la salle de bain ? Est-ce qu’elle fait tout son possible pour s’arrêter au magasin pour votre crème glacée préférée sur le chemin du retour ? Est-ce qu’il prend votre voiture pour un changement d’huile ? Corriger les éléments de votre liste de tâches sans qu’on vous le demande ? Vous surprendre en faisant des travaux que vous aviez déjà accepté d’assumer ? Ensuite, votre conjoint se sentira aimé lorsque vous rendrez ces actes de service. 5. Recevoir des cadeaux Quel genre de donateur est votre conjoint ? Pensez aux dernières vacances. Est-ce qu’elle réfléchit beaucoup aux cadeaux qu’elle choisit pour vous ? Est-ce qu’il fait de votre anniversaire une grande affaire ? Est-ce qu’elle se souvient des choses que vous avez mentionnées que vous aimeriez et les achète pour vous juste parce que ? Les choses qu’il choisit pour vous sont-elles enracinées dans l’effort et la réflexion ? Si votre conjoint aime donner de cette façon, alors en recevant comme pour un, votre conjoint se sentira aimé. Bien qu’il soit plus naturel d’aimer quelqu’un d’autre comme vous voulez être aimé, vous pouvez apprendre à faire le changement. Une fois que vous aurez reconnu les actes d’amour de votre conjoint pour ce qu’ils sont, il sera plus facile de voir comment les aimer en retour. Et si vous avez du mal à déterminer exactement ce dont votre conjoint a besoin, vous pouvez toujours demander. Les cinq langages de l’amour sont un excellent point de départ, mais vous n’êtes pas obligé de vous arrêter là . Les gens s’aiment de toutes sortes de façons. Et cela fait partie de ce qui rend nos mariages uniques. Seigneur, donne-moi un grand désir d’aimer mon conjoint comme il/elle veut être aimée, pas comme je veux l’aimer. Montre-moi ce que je ne vois pas. Que ce qui est important pour eux le devienne pour moi. Quand aimer devient difficile, accorde-moi ta grâce et aide-moi à voir mon conjoint d’une nouvelle manière. Merci pour mon mariage et la personne que vous mettez dans ma vie pour aimer et être aimée.
Awall in Montmartre full of "I love you" in 250 different languages. I tried to capture at least those I recognise. Eine Wand in